Susan, Représentante principale, développement des affaires, célèbre ses 15 ans d’aventures avec Transat. C’est d’ailleurs sa passion des voyages qui l’a menée vers l’industrie du tourisme. «J’ai eu la piqûre quand j’étais petite, se souvient-elle. On s’envolait en famille chaque année, et j’étais déjà certaine qu’un jour mon métier m’amènerait à prendre l’avion souvent.»
La voyageuse assidue a visité plusieurs destinations pour le travail et pour le plaisir, mais elle avoue avoir un faible pour le Panama, où elle retourne souvent. «La première fois, je suis venue en voyage avec des amies. La deuxième fois, c’était avec mon mari. Et comme j’avais l’impression de n’avoir entrevu que la surface du pays, j’ai eu envie d’y revenir une troisième fois.» Il y a tant de choses à voir au Panama, «les plages, le caractère cosmopolite de Panama City et la forêt tropicale qui se trouve tout près de la capitale, que plusieurs visites sont nécessaires pour en faire vraiment le tour.»
TROIS TRUCS POUR VOYAGER AU PANAMA
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Observez comment vivent les gens du pays
«On oublie souvent qu’on peut apprendre beaucoup juste en observant ce qui se passe autour de nous», explique Susan. Par exemple, notre voyageuse aguerrie aime que les rues du quartier historique Casco Viejo sont fréquentées autant par les résidents que par les visiteurs. «Quand j’ai vu des hordes de Panaméens entrer à la fonda Leon (un restaurant de quartier), je savais que je pouvais y aller pour goûter de vrais mets traditionnels. Je m’y suis donc arrêtée pour dîner», raconte-t-elle.
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Mêlez-vous aux gens même si vous ne parlez pas espagnol
Provoquez des occasions d’interagir avec les Panaméens et n’hésitez pas à demander votre chemin aux passants. Susan s’est toujours sentie la bienvenue au Panama. «Ça ne fait rien si vous ne parlez pas espagnol; la plupart des gens parlent un peu l’anglais, surtout à Panama City, assure-t-elle. Tout le monde est chaleureux et facile d’approche, alors laissez-vous aller même si votre espagnol est boiteux.»
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Allez-y mollo
C’est peut-être à cause du climat tropical, mais Susan remarque qu’au Panama, comme dans la plupart des destinations du Sud, les gens prennent leur temps. Et dans ce pays deux fois plus grand que la République dominicaine, il est sage d’y aller tranquillement en découvrant petit à petit des coins bien choisis. À se précipiter pour tout voir, on peut finir par rater l’essentiel. «Ne gaspillez pas vos journées à courir du point A au point B, insiste-t-elle. Prenez le temps de prendre le temps.»
Crédits photo couverture : Air Transat
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